Elle n’a pas cessé d’écrire même lorsque les bombardements de la Seconde Guerre mondiale la forcèrent à évacuer de Viareggio pour se réfugier à Sant’Andrea di Còmpito (dépendant de la commune de Capànnori dans la province de Lucques) où elle s’est vue transférée, avec les meubles de sa chambre d’infirme, d’avril à décembre 1944.
