Sa santé, mise à mal par de dures épreuves, ne cessait d’empirer, mais cela ne l’empêchait pas de s’engager dans une forme d’apostolat paroissial et dans des œuvres caritatives, tandis que grandissait en elle une soif d’immolation qui l’amena à s’offrir en victime à l’Amour et à la Justice divine. Elle était toujours plus entravée par la paralysie progressive des membres, conséquence de ce coup reçu dans le dos par l’anarchiste le jour où elle se trouvait dans les rues de Florence, paralysie qui devint totale le jour de Pâques 1934.
